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Eureka Seven

Eureka Seven Anime

Staff & Infos

Titre original: Eureka Seven
Titre alternatif:
- Eureka 7
- Kōkyō Shihen Eureka Seven
- Eureka Seven Psalms of Planets
- 交響詩篇 エウレカセブン
Année de production: 2005
Studio: Bones
Pays d’origine: japon Japon
Genres: Cyber & Mecha, Espace & Sci-fiction, Action, Aventure, Drame, Comédie, Romance
Type: Série TV
Nb épisodes: 50 x 25 min
Première diffusion: Non renseigner
Site officiel: http://www.eureka-prj.net...
Trailer: Visionner

Editeur VF: Beez
Titre Français: Eureka Seven


Auteur: Bones
Réalisateur: Tomoki KYODA
Chara-designers: Kenichi YOSHIDA
Mecha-designers: Shoji KAWAMORI
Musique: Naoki SATO
Nous cherchons un rédacteur pour cette série.

Synopsis

"Ne demande jamais rien. Fait tout à ta manière. C'est la seule façon de réussir ce que l'on fait !" Tels sont les mots d'un héros décédé nommé Adrock Thurston.
Dans un monde ou les armes de pointe sont de fameux Mechas nommés LFO, Renton Thurston, 14 ans, fils d'Adrock, vit avec son grand-père et rêve de surfer sur les vagues de Trappa qui régissent ce monde. N'ayant jamais rien eu d'intéressant dans sa vie, il a le sentiment qu'un jour les choses pourraient bien changer.

Fervant fan de Holland le génie et de son vaisseau le Gekkostate, qui écrit son journal préféré, le Ray=Out, il se met en tête de réussir comme Holland, le "Cut-back-Drop-turn" à 14ans. Il voûe une attention toute particulière a la phrase de ce génie : "Peu importe où tu es né, ce que tu désires toujours est devant toi"; car son objectif n'est autre que "coller" un Cut-back-Drop-turn à un LFO et d'un jour devenir grand !
Alors qu'un héritage laissé par son père nommé Compac Drive ne cesse d'afficher le mot "EUREKA", un LFO, connu sous le nom de Nirvash Type Zero, se pose suite à un conflit chez Renton et son grand père mécanicien, laissant sortir de l'appareil une jeune fille nommée justement Eureka, membre d'équipage du Gekkostate, recherchée par Holland, qui apparaît avoir eu comme professeur un héros nommé Adrock...
Le début de l'histoire apparaît comme assez original, mais ce n'est que le début des aventures de Renton, où son cercle d'amis et d'ennemis grandira considérablement. Les rebondissements seront au rendez-vous, surtout lorsque l'on sait que Renton est capable de produire le phénomène du Seven Swell...

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Les Seiyu // Doubleurs

Kaori Nazuka (Eureka), Keiji Fujiwara (Holland), Michiko Neya (Talho), Yuko Sanpei (Renton Thurston), Akio Nakamura (Matthieu), Ami Koshimizu (Anemone), Aya Hisakawa (Ray), Eriko Kigawa (Maeter), Fumie Mizusawa (Gidget, Linck), Juurouta Kosugi (Charles), Kouji Tsujitani (Dewey), Mamoru Miyano (Moondoggie), Mayumi Asano (Hilda), Michiko Neya (Maurice), Rikiya Koyama (Norb (eps 34-42)), Shigenori Yamazaki (Dominic), Tamio Ohki (Ken-Goh), Tarô Yamaguchi (Hap), Yasunori Matsumoto (Stoner).

Critique

Musiques et Voix


Musicalement : vous aimez le simple qui percute ? Le son qui vous renvoie en enfance et vous rappelle combien la vie peut être belle ? Vous êtes accros aux soirées déprime et vous ne jurez que par la sensation ? Votre tympan fébrile ne supporte qu'une bande sonore de qualité ?
Alors cette musicalité est faite pour vous ! L'anime entâme fort avec son premier opening Days, du groupe Flow qui a déjà travaillé par la suite sur Code Geass. Pourtant, on pourrait dire qu'il démarre justement trop fort. Et oui, malheureusement cet opening en dévoile trop sur l'anime qui ne demande qu'à être découvert pas à pas avec émotion.
Pourtant, on en oublie vite ce bémol en écoutant le second générique, Shounen Heart de Home Made Kazoku, qui produit souvent des sons hip-hop ou parfois encore Rap/R&B, comme il nous le montrent encore une fois, riche vocalement comme visuellement, on en demanderait presque plus et ce générique nous lance de suite dans l'anime que nous avons hâte de dévorer. La diversité sonore se fait sentir avec le 3ème opening, Taiyou no Mannaka he de Bivattchee, à la sonorité rock, suivi de Sakura de Nirgilis, déjà beaucoup plus pop.
Concernant les génériques de fin, Secret Base réalisé par Himitsu Kichi, possède une tendre mélodie. Le second et troisième génériques, à savoir Fly Away d'Izawa Asami et Tip Taps Tip de Halcali sont déjàs plus entraînants, sans vraiment être exceptionnels. Le dernier ending, Canvas interprété par Coolon, est plus original et le côté rap s'inscrit bien dans la série.

Renton
Fatigué de sa vie monotone, Renton n'a qu'un rêve, celui d'un jour marcher sur les pas de son héros...


Parlons maintenant des musiques de fond. Réalisées en grande partie par Naoki Sato, elles sont des plus convaincantes !
Qui peut avouer après les avoir tant écoutées, et avoir pleuré à chaude larmes, serré fort un coussin tout doux, frappé dans le vide ou encore crié à en perdre toute corde vocale, que ces musiques ne sont pas transcandentes ? Ne serait-ce qu'en écoutant à plein volume un Noaki Sato - Gekko-Go en voyant notre Gekkostate partir pour une nouvelle mission pleine d'entrain
Nous saurons aussi aduler tout ces moments rythmés de LFO servis par un New Deal - Trance Ruined ou encore un Ryukyudisko - Acid Track Protoype qui nous donne tant envie de voir onduler du corps, ou, revenons dans l'anime, d'espérer un combat massivement complexe.
Chaque musique a sa propre émotion et chaque émotion a son propre personnage, comme le montre cette série de musiques qui sait si bien nous entraîner dans la tristesse, la joie, la compassion, l'émotion, la turbulence ou encore la douceur.

Vocalement : qui aurait cru que le caractère de Holland serait si maîtrisé, on dirait que Keiji Fujiwara a bien fait son travail, mais il n'est pas seul. Yuko Sanpei et Kaori Nazuka, les doubleuses d'Eureka et Renton (et oui, l'interprète de Renton est une fille), jouent parfaitement leur rôle, on sent facilement l'insouciance de Renton et la droitesse mais aussi la timidité d'Eureka dans n'importe quel petit mot prononcé même si pour certains, cela peut être lassant car trop "posée" ou pas assez "changeante".
Chaque personnage est en somme bien choisi même si on ne peut que s'empêcher au début de dire de Michiko Neya, doubleuse de Talho, que sa voix est trop grave. Pourtant, au fil de l'anime, on s'y fait si bien qu'on est persuadé que personne ne peut la remplacer.
Concernant la version française, étant produite par Beez, on nous propose donc un travail de qualité, avec des voix s'adaptant là aussi aux personnages, notamment Circé Lethem qui joue Renton, ou encore Esther Afflalo dans le rôle de Eureka.

Renton X Eureka
Une série assez longue pouvant se permettre d'avoir de nombreux personnages très différents.


Notre Avis


Eureka Seven, un titre, une aventure, de la sensation mais aussi des défauts.
Comme on le sait maintenant, cette série nous emporte dans le l'univers Mecha, mais lequel ? Malheureusement il n'y a que trop peu de LFO différents, qu'ils soient militaires ou autres, bien que leur design plutôt arrondi soit plaisant. Souvent trop rapprochés visuellement, bien que différents, nos bons vieux Mechas n'apportent pas à la série une différence qui pourrait jouer en sa faveur. Petite exception tout de même pour le Nirvash.
Concernant la réalisation, et nous sommes habitués pour les séries assez longues comme Eureka Seven, on notera des détails comme le changement de Talho, qui est négligée, si bien que ses yeux changent de qualité à chaque épisode, il en est de même pour le changement d'Eureka.

Parlons des décors, des paysages ou du monde en lui même. Là encore, on ne voit que trop peu de différences entre chaque lieu, à croire que le monde est partout le même et qu'il ne pleut que rarement voir jamais. Sans doute car une bonne partie de l'aventure ne se passe que dans le vaisseau !
On sent comme une baisse de qualité en s'enfonçant dans les épisodes au delà de la vingtaine, et ça en devient un peu chagrinant car cette série mérite un travail soigné de toute part. Si elle parvient à un moment à se relever, la fin reste assez décevante dans l'ensemble.

Toutefois, Eureka Seven est une série qui mérite que l'on parle d'elle, ceux qui n'aime pas forcément les Mechas pourront facilement s'intégrer à l'histoire et aux personnages voir même aux Mechas et en sortir ne sachant dire que "Mecha, tout compte fait, y a vraiment du bon !". Il n'y a pas finalement de grand scénario prévu d'avance, on avance pas à pas dans l'aventure, toujours aromatisée d'humour et de sentiments, et on ne s'en plaint pas. On sent parfois une atmosphère trop relachée et des secondes qui s'écoulent comme des heures mais ce n'est pas si mal car finalement Eureka Seven n'est pas que robot et combat. Les personnages ont tous une personnalité attachante et sont tout compte fait la force de cette série.
Graphiquement il n'y a pas grand chose à dire, paysagement il est vrai que la couleur est au rendez-vous, bien qu'un peu monotone de temps à autres et que le dessin reste accrocheur, pourtant dans le Gekko-Go les couleurs et le design laissent parfois à désirer, trop de vert par-ci, pas assez de lumière par là, parfois trop sombre ou bien encore dans le même ton. Néanmoins tout ceci reste optionnel ou encore fictif face a la qualité des combats, des Seven Swell, des attaques coraliennes et autres. Le chara-design est une force car il très original, et permet de s'attacher encore plus aux personnages.

Les personnages, d'ailleurs, font de la série ce qu'elle est. Si Renton et Eureka ne sont pas détestables, ils ne sont pas non plus les plus attachants, sans doute à cause de la présence des trois enfants insupportables qui suivent Eureka. Néanmoins, ils restent très souvent, un peu trop même, au premier plan, empêchant des couples comme Dominic et Anémone ou encore Holland et Talho, bien plus intéressants, à être plus exploités.
On notera pour quelques bémols lorsqu'il sagira de détails, de crédibilité ou bien d'heureux hasard mais Eureka Seven n'en reste pas moins un animé qui daigne à être découvert d'urgence. On ne lui reprochera jamais son originalité dans son domaine.


Mecha Eureka7
Avec une réalisation dans l'ensemble correcte, Eureka Seven fait
surtout partie des références Mechas pour son originalité.


Eureka Seven n'est pas sans défauts, certes, mais les qualités que possède cet animé sont tellement bonnes et uniques que cela en fait une série à connaître, fan de Mecha ou non. C'est une expérience à tenter.
La série est disponible en DVD en France, produite par Beez. Après avoir été plutot bien classé à l'Anime Grand Prix 2006, Eureka 7 a su trouver son public surtout pour la fraîcheur qu'il apporte dans son domaine.
Critique rédigée par Folken.

Note : Full StarFull StarFull StarFull StarEmpty Star

Le studio japonais Bones est connu pour faire des séries de qualité. Si Eureka Seven ne fait pas exception, possédant surtout des qualités originales, la série ne sera pourtant pas classée dans un Top 3 Mecha. Le potentiel est là, il n'est pas gâché, loin de là, mais parfois mal exploité, voilà.

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